Le meilleur pour la fin…George BERGOGLIO (FRANCOIS 1er – 2013-)Dans ce feu d’artifice, voici le bouquet final : Bergoglio ! Plus juif que les juifs, plus maçon que les maçons, plus protestant que les protestants, plus musulman que les musulmans. Mais bien sûr, en vertu de l’adage bien connu «
On ne peut contenter tout le monde et son père », la seule religion qu’il refuse d’honorer, c’est le catholicisme.
Dès le début de son pontificat, il a réussi la prouesse de
tenir à l’ONU un long discours où pas une fois n’apparaît le nom de Jésus-Christ.
De nombreux fidèles n’ont pu manquer de remarquer qu’il ne bénissait plus les foules : Pas de signe de croix, pas de formulation «
au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit », mais juste un vague «
Que le Seigneur vous bénisse » en levant les bras au ciel suivi d’un «
Priez les uns pour les autres ».
Il n’y a alors plus à s’étonner de sa réponse au matérialiste Scalfari, sûrement aux anges :
«
Je crois en Dieu. Pas en un Dieu catholique, il n’existe pas de Dieu catholique, il existe Dieu »
(Entretien avec Scalfari, « la Repubblica », 24/09/2013)
Autre pépite de ce même entretien à « La Repubblica » :
«
Chacun de nous a une vision du Bien, et aussi du Mal. Notre tâche est d’inciter chacun à aller dans la direction de ce qu’il estime être le Bien ».
Autrement dit, pas de révélation divine, l’Eglise n’est pas un guide, cherche en toi-même et tu trouveras : C’est la première chose qui est enseignée au candidat à la franc-maçonnerie, sous l’acronyme V.I.T.R.I.O.L.
Sa vidéo du nouvel an 2016, clairement
indifférentiste, dans laquelle, après avoir désigné les principales religions, il les déclare toutes égales en affirmant :
« Il n’y a qu’une certitude, c’est que nous sommes tous enfants de Dieu » Il oublie par là que Jésus a condamné ceux qui refusent de le suivre :
« Jésus leur dit : Si Dieu était votre Père, vous m'aimeriez, car c'est de Dieu que je suis sorti et que je viens ; je ne suis pas venu de moi-même, mais c'est lui qui m'a envoyé. » (.Jn, 8,42) Ainsi, pour lui, contrairement à ce qu’affirme le
symbole de Nicée, l’Eglise n’est ni une, ni sainte, ni catholique, ni apostolique. D’ailleurs, il a troqué le substantif « apostolat » pour celui de « prosélytisme », de connotation péjorative. Pour lui, convertir un juif, un protestant ou un musulman, cela ne se fait pas : Chacun doit rester dans sa religion d’origine.
260 papes se retournent dans leur tombe en entendant cela ! La maxime cardinale de l’Eglise affirmant
« Hors de l’Eglise, point de salut » n’est pour lui qu’une vieille lune : Selon lui, nul besoin de suivre Jésus pour être sauvé. A quoi bon, dans ce cas, en effet, convertir ceux de l’extérieur, puisque leur religion est aussi bonne que la nôtre ? Tout est à l’avenant, dès que s’exprime cet antipape débridé.
Quand des catholiques, même éminents (évêques, cardinaux, théologiens), lui font part de la profonde blessure qu’ils ont ressentie à l’audition ou à la lecture de
ses propos hérétiques, nulle charité chrétienne ne le pousse à leur répondre fraternellement en quoi ils se trompent dans leur interprétation.
Il faut ici reconnaître qu’il est arrivé à un stade de déconstruction théologique où nul faux-semblant ne peut plus donner d’apparente justification catholique à ses élucubrations. C’est pourquoi Il n’a cure de chercher à justifier ses errements répétés, car il sait qu’au point où il est rendu, la justification théorique est impossible : « On » lui a donné un programme, qu’il applique docilement. Il sait aussi que ses véritables maîtres se montreraient bien plus impitoyables que des cardinaux effarouchés s’il s’avisait de dévier de la ligne qui lui a été dictée.
Nous pourrions remplir cent pages de ses propos
indiscutablement hérétiques, mais le dernier épisode de la pitoyable farce que constitue son « pontificat » suffira à montrer le désastre moral et intellectuel que représente ce triste souverain :
Dans les jardins du Vatican, il a participé à une cérémonie de prosternation devant les statues de
Pachamama, divinité païenne d’Amérique du Sud. Il a organisé une procession de cette idole dans une pirogue
à l’intérieur de la basilique Saint-Pierre, il en a autorisé l’exposition de plusieurs statues dans diverses églises de Rome et, comble de la perfection, lorsqu’un fidèle catholique n’y tenant plus s’est fait un devoir d’enlever ces statues pour les jeter dans le Tibre, pensez-vous qu’il se soit excusé d’avoir heurté la sensibilité des catholiques par les sacrilèges qu’il avait encouragés ? Non, bien entendu, c’est aux idolâtres qu’il a adressé ses excuses, osant même se dire choqué du geste catholique consistant à sortir les idoles du sanctuaire !
Saint Matthieu, dans son Evangile, rappelle pourtant clairement le premier commandement de Moïse :
" C’est le Seigneur, ton Dieu, que tu adoreras, et à Lui seul tu rendras un culte " (Mt 4,10)
Et ensuite, Jésus prend la peine de préciser :
«
Celui qui n'est pas avec moi est contre moi, et celui qui n'assemble pas avec moi disperse.C'est pourquoi je vous dis : Tout péché et tout blasphème sera pardonné aux hommes, mais le blasphème contre l'Esprit ne sera point pardonné. » (Mt 12,30-31)
A quoi Bergoglio rétorque :
«
Le pluralisme et les diversités de religion, de couleur, de sexe, de race et de langue sont une sage volonté divine, par laquelle Dieu a créé les êtres humains. ». (Bergoglio, 4 fév. 2019).
N’est-il pas étonnant qu’un homme occupant la fonction de pape ait à ce point perdu toute retenue contre l’orthodoxie de la foi ?
Mais nous avons été prévenus à La Salette :
«
Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’Antéchrist. L’Eglise sera éclipsée, le monde sera dans la consternation ». (déjà cité)
Nous sommes donc arrivés au cœur du
mystère d’iniquité :
celui que l’on nomme pape est de parfaite évidence un ennemi de la religion universelle, et pourtant la plupart de ceux qui se disent catholiques ne le voient pas :
Mystère !Au stade où nous sommes rendus, pourtant, une intelligence même médiocre, et même légèrement inférieure, devrait suffire à constater que cet homme n’est qu’un autre Judas, et pourtant tout continue : c’est à peine si quelques évêques, quelques cardinaux et quelques intellectuels protestent poliment, c’est à peine si quelques fidèles crient leur colère et leur chagrin :
Voilà ce qui est mystérieux.
Mais Le Christ avait bien annoncé, durant son ministère et dans son apocalypse, cet épisode qui se déroule sous nos yeux, où l’on voit qu’il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, ni pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.
«
Et ils l’adoreront [la Bête],
tous ceux dont le nom ne se trouve pas écrit, dès l’origine du monde, dans le livre de vie de l’Agneau égorgé » (Apocalypse, 13,8)
Il nous reste à livrer aux éventuels catholiques qui nous ont lus cette sentence du pape Paul IV (1555-1559) :
« ...
Si jamais il advient qu'un évêque, même ayant fonction d'archevêque, de patriarche ou de primat ; qu'un cardinal de l'Église romaine, même légat ; qu'un souverain pontife même, avant leur promotion ou leur élévation au cardinalat ou au souverain pontificat, ont dévié de la foi catholique ou bien sont tombés dans quelque hérésie, la promotion ou l'élévation, même si cette dernière a eu lieu avec l'assentiment unanime de tous les cardinaux, est NULLE, INVALIDE, VAINE... » (Paul IV, bulle "
cum ex apostolatus ", 15 février 1559).
Voilà des propos clairs, et clairement pontificaux, que nous soumettons à la réflexion des hommes de bonne volonté.
Et terminons cette complainte par une prophétie du pape Léon XIII :
« Là où fut institué le Siège du Bienheureux Pierre et la Chaire de la Vérité, là ils ont posé le Trône de leur abomination dans l'impiété, afin que le Pasteur étant frappé, le troupeau puisse être dispersé »(Léon XIII, encyclique
Humanum Genus, 1884)
Pierre Mellifont.