La restauration du christianisme apostolique
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Qu’est-il arrivé au vrai christianisme – le christianisme de Jésus et des apôtres ? Réalisez-vous que cette sorte de christianisme a pratiquement disparu de la terre ? Mais maintenant, il est en train d’être révélé et restauré !
Si Jésus de Nazareth revenait sur la planète Terre aujourd’hui, reconnaîtrait-Il la religion qui utilise Son nom ? Serait-Il choqué de voir que les gens qui prétendent être Ses fidèles se sont fait la GUERRE les uns contre les autres, presque en permanence, depuis Son premier avènement ? Que Ses soi-disant fidèles croient à des doctrines totalement contraires à celles qu’Il a enseignées, observent des jours de culte différents, et d’autres coutumes ? Et – pire encore – qu’ils ont adopté un concept totalement différent concernant Dieu et Son dessein, par rapport à celui de Jésus et de Ses premiers apôtres ?
Jésus serait en droit de Se demander : « Pourquoi ont-ils mis MON nom sur toutes ces balivernes ? »
Pourtant, la plupart des érudits sincères reconnaissent que d’ÉNORMES modifications ont modelé le faux christianisme – le rendant totalement différent du christianisme de Jésus et des apôtres ! Jesse Lyman Hurlbut, un érudit respecté du courant protestant, a appelé cela « l’ère des ténèbres », en admettant ce qui suit :
« Cinquante ans après la vie de St. Paul, un rideau est tombé sur l’Église, à travers lequel nous tentons vainement de voir, et lorsqu’il se lève enfin, aux alentours de l’an 120 apr. J.-C. avec les écrits des premiers pères de l’Église, nous retrouvons une Église très différente à maints égards de celle des jours de St. Pierre et St. Paul » (Story of the Christian Church, page 41. C’est nous qui traduisons tout au long de cet article).
Si les chefs de « l’ère des ténèbres » auxquels Hurlbut fait allusion avaient été remplis du Saint-Esprit, et s’ils avaient été conduits par ce dernier, pourquoi l’Église devait-elle se retrouver subitement « très différente » ? Car la Bible nous dit que le Christ est « le MÊME hier, aujourd’hui, et éternellement » (Hébreux13 . Or, la prétendue Église chrétienne d’aujourd’hui ne ressemble PAS – même de loin – à celle que le Christ a fondée.
En décrivant l’époque qui a suivi la mort des premiers apôtres et de leurs successeurs, Hurlbut écrit :
« Les offices religieux augmentaient en splendeur, mais ils étaient moins spirituels et chaleureux qu’aux premiers temps. Les coutumes et les cérémonies issues du paganisme se faufilèrent progressivement dans le culte. Des anciennes fêtes païennes devinrent des fêtes de l’église en changeant de nom et de destination. Aux alentours de 405 apr. J.-C., des représentations des saints et des martyres commencèrent à faire leur apparition dans les églises, tout d’abord comme mémoriaux, puis comme objets d’adoration et de vénération. L’adoration de la Vierge Marie se substitua au culte de Vénus et de Diane, le repas du Seigneur se transforma en sacrifice au lieu de commémoration, et les anciens évoluèrent de prédicateurs qu’ils étaient, en prêtres » (page 79).
Veuillez remarquer la déclaration de Hurlbut selon laquelle « des anciennes fêtes païennes devinrent des fêtes de l’église ». Elles le « devinrent », parce que Dieu Lui-même avait prédit que des hommes MÊCHANTS et de faux dirigeants domineraient sur la majorité de l’Église ! Souvenez-vous de cet avertissement inspiré, que l’apôtre Paul donna aux anciens d’Éphèse : « Je sais qu’il s’introduira parmi vous, après mon départ, des loups cruels qui n’épargneront pas le troupeau, et qu’il s’élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples après eux. Veillez donc, vous souvenant que, durant trois années, je n’ai cessé nuit et jour d’exhorter avec larmes chacun de vous » (Actes 20 :29-31).
Lorsque Paul mesura l’ampleur de l’APOSTASIE qui allait englober la majorité de l’Église, cela le toucha émotionnellement. Il ne cessa « d’EXHORTER [d’AVERTIR] avec larmes chacun […] ». Aujourd’hui, très peu de gens se soucieraient de répandre un début de larme sur cet effrayant changement.